Slow content – Définition et objectif en SEO

Ah, le slow content ! Pas forcément le plus sexy des sujets, mais incroyablement pertinent si vous cherchez à bâtir une stratégie SEO qui tient la route. Ne vous attendez pas à des miracles immédiats. Le slow content, comme son nom l’indique, est un jeu de patience. Mais  les résultats peuvent être époustouflants. Accrochez-vous, on décolle !

Slow content, qu’est-ce que c’est concrètement ?

Définition

Alors, qu’est-ce que c’est ce fameux slow content ? Eh bien, si vous avez déjà entendu parler de “slow food”, vous êtes sur la bonne voie. Le slow content est à l’écriture ce que le slow food est à la restauration rapide. Autrement dit, l’opposé du “fast content”, de la production rapide, à la chaîne, sans prendre le temps de peaufiner chaque détail.

En gros, c’est l’art de produire moins, mais mieux. Moins de contenu, plus de qualité. De la sueur, des larmes et, enfin, la satisfaction de voir une œuvre bien faite (oui, j’ai vraiment dit œuvre, car c’est un art !).

Rentabilité

Maintenant, je sais ce que vous pensez : “Ça semble bien beau tout ça, mais mon patron veut voir des chiffres. Est-ce que ça rapporte, ce truc ?”

Et bien, surprise, la réponse est un grand OUI. Parce que le slow content, c’est du contenu qui résiste à l’épreuve du temps. Un article de blog bien conçu, bien réfléchi, optimisé pour le SEO peut rapporter des visiteurs pendant des années.

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Avantages et inconvénients

Parmi les avantages du slow content, on peut citer :

  • L’image de marque : Le slow content peut être un formidable atout pour l’image de marque. En prenant le temps de créer du contenu riche, perspicace et précis, vous montrez à votre audience que vous vous souciez vraiment d’elle. Vous n’êtes pas juste là pour vendre quelque chose, mais pour apporter de la valeur, pour éduquer, pour aider. Et cela, mes chers lecteurs, a un impact énorme sur la façon dont votre marque est perçue.
  • Le SEO : Oh, le doux, doux SEO. Google aime le contenu de qualité. En fait, il raffole de cela. Un contenu de qualité attire les lecteurs, mais aussi les moteurs de recherche. Plus votre contenu est de qualité, plus il est probable qu’il sera bien classé dans les résultats de recherche.
  • Engagement du public : Avec le slow content, vous donnez à votre public quelque chose à mâcher, quelque chose à digérer. Vous ne leur donnez pas seulement une bouchée rapide à avaler. Vous leur donnez un repas complet, avec une entrée, un plat principal, un dessert. Et cela crée de l’engagement. Vos lecteurs passent plus de temps sur votre site, ils interagissent plus avec votre contenu, ils partagent plus votre contenu. Et tout cela conduit à une plus grande visibilité et à une meilleure réputation en ligne.

Maintenant, passons aux inconvénients. Parce que, oui, même le slow content a ses inconvénients.

  • Le temps : Le slow content demande du temps. Beaucoup de temps. Il faut du temps pour rechercher, du temps pour rédiger, du temps pour éditer. Il faut du temps pour tout. Et cela peut être un problème si vous avez des délais serrés ou si vous avez besoin de résultats immédiats.
  • L’investissement : Le slow content peut nécessiter un investissement important en termes de ressources. Il peut nécessiter l’embauche d’écrivains, d’éditeurs, de spécialistes du SEO, etc. Et cela peut être un défi pour les petites entreprises ou les start-ups au budget limité.
  • Le risque : Malgré tous vos efforts, il n’y a aucune garantie que votre slow content sera un succès.
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Mise en place d’une stratégie SEO de slow content

Mise en place d’une stratégie SEO de slow content

Calendrier éditorial

Un bon calendrier éditorial est la clé d’une stratégie de slow content réussie. C’est comme un GPS pour votre production de contenu. Il vous guide vers votre destination finale sans vous laisser vous perdre en chemin (à moins que vous ne décidiez d’ignorer votre GPS, auquel cas, je ne peux rien pour vous).

Type de contenu à produire

Là, je vais vous surprendre : il n’y a pas de réponse unique. Le type de contenu à produire dépend de votre audience, de votre niche, de vos objectifs… En gros, produisez ce que votre audience veut lire, et faites-le bien. Des guides complets, des études de cas approfondies, des tutoriels détaillés… Prenez le temps de créer du contenu qui a de la valeur.

Qualité > quantité

Vous avez déjà entendu ce vieux dicton, n’est-ce pas ? Eh bien, c’est particulièrement vrai dans le cadre du slow content. La quantité peut vous apporter un pic de trafic temporaire, mais la qualité vous apportera un trafic constant et durable. Soyez la tortue, pas le lièvre.

Optimisation de l’ancien contenu plutôt que production

Et voici la cerise sur le gâteau du slow content : l’optimisation de l’ancien contenu. Oui, vous avez bien entendu. Au lieu de toujours créer du nouveau contenu, pourquoi ne pas dépoussiérer vos vieux articles ? Mettez-les à jour, ajoutez des informations pertinentes, optimisez-les pour le SEO… C’est ce qui va vous offrir le meilleur retour sur investissement !

Trouver et recycler des anciens contenus

Enfin, n’oubliez pas que vous pouvez toujours recycler vos anciens contenus. Transformez un article de blog en vidéo, en podcast, en infographie… Les possibilités sont infinies. Le recyclage n’est pas seulement bon pour la planète, il est aussi bon pour votre stratégie de contenu !

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